L'Ayurvéda Maharishi utilise les plantes, les minéraux et certains fruits précieux, en complément de l'alimentation courante, afin de restaurer l'équilibre dans toute la physiologie comme fondation pour une santé parfaite.
Les produits de l'Ayurvéda Maharishi sont soumis à plusieurs tests rigoureux dans des laboratoires indépendants pour être sûr que ces produits ne contiennent pas de métaux lourds (comme le plomb, le mercure ou l'arsenic). Les médecins de l'Ayurvéda Maharishi vous recommandent de faire attention à la qualité si vous voulez utiliser des minéraux préparés par certaines entreprises qui se disent " ayurvédiques ", en Inde ou ailleurs.
En toute simplicité, j'avoue que l'une de mes préférrées parmis ces recettes gourmandes de produits naturels et biologiques distribués par Maharishi Ayurveda Products est sans doute Raja's Cup, "la tasse du Raja". On m'a indiqué que ce délicieux breuvage est disponible sous le nom de Café Ayurvédique dans plusieurs pays. Raja's Cup est un succédané de café qui se prépare à peu près de la même manière que le café et en a tous les avantages sans en avoir les inconvénients. En outre, une série de tests a montré que Raja's Cup a des propriétés anti-oxydantes remarquables : plus de cent fois plus efficace que la vitamine C ou E contre les radicaux libres (saviez-vous qu'un grand nombre des industriels qui fabriquent des vitamines utilisent maintenant des maïs génétiquement modifiés pour produire la vitamine C ? Ce n'est évidemment pas le cas de Maharishi Ayurveda Products, où presque tout est "biologique"). Je trouve que le goût de Raja's Cup est excellent. Je l'incorpore aussi dans des gâteaux et des sorbets : hmm, miam.
Il n'y a rien de bien nouveau dans le fait que les plantes médicinales, les épices et les aromates soient largement utilisés pour promouvoir la santé et le bien-être. On a trouvé que l'usage des plantes en tant que médications est pratiqué sans interruption depuis tellement longtemps que cet usage date de bien avant l'histoire écrite de l'humanité.
Les herboristes de l'Ayurvéda Maharishi utilisent des plantes qui poussent naturellement dans les profondeurs de la forêt tropicale de l'Inde et sur les contreforts de l'Himalaya, loin de toute pollution. Plusieurs milliers d'emplois spécialisés ont été créés parmis les villageois locaux qui se sont transformés très sérieusement au fil des années en vrais botanistes. Ils vont sélectionner et cueillir à la main ces précieuses ressources naturelles, aux moments les plus appropriés. Chacune de ces plantes doit passer ensuite une série de tests et de contrôles particulièrement rigoureux. Elles sont soumises à l'examen des spécialistes de l'Ayurvéda Maharishi et testées selon des procédures scientifiques modernes telle que la chromatographie gazeuse. Cela assure que les plantes sont exactement de l'espèce désignée, en accord avec les textes Védiques des origines, et sont alors standardizées. Les meilleures plantes commencent la longue procédure de la préparation, vérifiée par des experts à chaque étape. Certaines recettes demandent plus de 250 étapes successives, et certains ingrédients demandent trois mois, six mois, voire davantage, de temps de préparation à eux seuls avant d'être inclus dans ces recettes. L'authenticité des produits issus de la connaissance de l'Ayurvéda Maharishi est ainsi assurée, et le consommateur en obtient tout les bienfaits prévus par la nature.
Dans certains cas, lorsque les écosystèmes seraient peut-être mis en danger par une éventuelle cueillette des plantes sauvages dans leur milieu de prédilection en forêt ou sur le côteaux de l'Himalaya, les plantes sont alors produites en exploitation agricole. C'est ainsi que deux grandes coopératives agricoles en Inde fournissent maintenant des plantes médicinales pour les consommateurs éclairés de l'Ayurvéda Maharishi. Les paysans sont certifiés en agriculture biologique depuis longtemps, d'une part, et aussi en agriculture Védique Maharishi, d'autre part.
Les amoureux de la vie, et les amateurs de « la bonne bouffe », seront très intéressés par cet excellent article du docteur Nader, concernant l'importance, primordiale à ses yeux, de consommer des produits alimentaires issus de « l'agriculture biologique » .
Ce site en France décrit quelques-uns des compléments alimentaires issus de l'Ayurvéda Maharishi. Vous y trouverez en particulier de délicieux churnas ("tchourna"), recettes d'épices en poudre pour vous aider à équilibrer vos doshas: il suffit d'incorporer l'un de ces churnas dans la préparation de vos mets préférés ou, plus simplement encore, d'en saupoudrer votre assiette, ce qui est rendu très facile gràce à leur présentation sous la forme classique de salière ou poivrière. Il suffit donc d'ajouter désormais sur votre table une « churnaïère » (on m'a proposé le nom "épicière" - "pourriez-vous mettre l'épicière sur la table, s'il vous plaît ?"; euh, je ne sais pas : est-ce que cela ne fait pas un peu olé olé ?).
Des chercheurs de Cornell University, aux Etats-Unis, se sont demandés pourquoi les habitants des pays orientaux consomment traditionellement avec leurs repas des aromates et des épices, tels que gingembre, coriandre, curcuma, ou basilic. Ils disent maintenant que, en plus du bon goût savoureux que ces aromates ajoutent au repas, cela pourrait bien être aussi en raison des propriétés antimicrobiennes de ces plantes. Ils ont publiés le résultat de leur étude, qui montre que les épices et condiments naturels les plus utilisés neutralisent 75% des souches de bactéries testées. Par ailleurs, l'Institut de veille sanitaire (InVS) et l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) indiquent que plus de 200 maladies infectieuses, bactériennes, virales, parasitaires ou toxiques peuvent être transmises par l'alimentation. Une étude réalisée sur dix ans, publiée en mai 2004 par l'InVS en collaboration avec l'Afssa, révèle que plus de 200.000 personnes sont directement atteintes chaque année en France de maladies d'origine alimentaire. Ces infections ont des conséquences parfois tout à fait sérieuses (consommation médicale accrue, perte de jours de travail, hospitalisations, et décès).
Les microbiologistes de la Kansas State University, aux Etats-Unis encore, disent qu'ils ont découvert un moyen tout ce qu'il y a de plus naturel pour lutter contre l'E.Coli 157, une bactérie potentiellement mortelle : la cannelle ! En versant quelques pincées de cette épice dans des échantillons de jus de pomme contaminés, ils ont réussi à éliminer 99,5% des bactéries après 3 jours de conservation à température ambiante. Un constat exceptionnel, disent-ils. Selon le Professeur Daniel Fung, l'un des auteurs de l'étude : "Si la cannelle peut venir à bout de l'E.Coli 157, l'un des micro-organismes les plus virulents qui existent aujourd'hui, il devrait certainement pouvoir aussi détruire des bactéries pathogènes très répandues comme les salmonelles".
Les compléments alimentaires de l'Ayurvéda Maharishi ne sont pas des médicaments ou des substances médicamenteuses de synthèse. Vous ne les trouverez donc pas dans votre Vidal favori.
Les compléments alimentaires de l'Ayurvéda Maharishi ne causent pas d'effets secondaires négatifs, contrairement aux molécules de synthèse de la "médecine moderne". L'université de Rennes propose une liste des effets iatrogènes (symptômes ou troubles dûs à la médecine). Vous y trouverez la plupart des troubles secondaires dont vos patients peuvent être la victime, médicament par médicament.
En août 2000, le World Congress on Lung Health and Respiratory Diseases, qui s'est tenu à Florence, a été l'occasion de souligner le problème grandissant des pathologies pulmonaires iatrogènes. Lors de ce congrès, le professeur Philippe Camus (du CHU de Dijon) a indiqué que plus de 310 principes actifs de la médecine "moderne" ont déjà été identifiés comme étant liés à des pathologies pulmonaires iatrogènes. « Cela veut dire que le nombre est bien plus élevé si on considère que chaque principe actif est commercialisé sous diverses formes. Le problème était pratiquement inconnu il y 25 ans, mais il prend aujourd'hui des proportions alarmantes », déclara à cette occasion le professeur Camus. Selon cette équipe de Dijon, environ 50 affections ou syndromes pulmonaires semblent causés ou aggravés par la prise de ces "principes actifs". De plus, 20 à 30 nouvelles molécules viennent enrichir chaque année la liste des produits suspects. Ces estimations ont été réalisées à partir de l'analyse de 4.200 références disponibles dans la littérature scientifique. Le groupe du Pr Camus a développé un site sur le web qui fournit en libre accès les informations recueillies par son groupe. Les substances y sont classées selon le nombre de cas décrits dans la littérature déjà disponible. Les travaux du congrès sont facilement accessibles dans les publications de la très sérieuse European Respiratory Society. L'usage de l'Ayurvéda Maharishi permettra de prévenir l'apparition de tous ces problèmes.
A peine plus de 15% des thérapies de la médecine moderne ont été prouvées comme étant sûres ou scientifiquement fondées.
Le docteur Barry Charles, un commentateur des avancées de la médecine contemporraine, indique dans son article " Les risques et périls de la médecine "moderne " :
« Les soins de la médecine moderne sont basés sur bien moins de preuves scientifiques qu'on le croit générallement. En outre, ces méthodes font souvent l'objet de revirement radicaux quant à l'évaluation de leur bien-fondé, et de processus d'annulation de pratique. L'éditeur du réputé British Medical Journal déclara lui-même que seulement 15% de toutes les méthodes de la médecine moderne ont une base scientifique ou ont été prouvées (British Medical Journal, 1991; 303: 798-799). »
« Citons comme exemple l'usage habituel de l'irradiation pour l'élargissement du thymus de l'enfant, une situation que l'on reconnait aujourd'hui comme étant normale. On a récemment montré que ce traitement cause maintenant des cancers chez ceux et celles qui l'ont subis jadis (New England Journal of Medicine 1989; 321: 1281-1284). »
Le Traité de Droit Européen de l'environnement, publié en 1995 aux Editions Frison Roche, sous l'autorité de la Conférence Permanente des Recteurs, Présidents et Vice-Chancelliers des Universités Européennes, indique au chapitre dix, en ce qui concerne les substances dangeureuses : « les données concernant les effets sur la santé humaine sont disponibles pour seulement 10 % des pesticides et 18 % des médicaments vendus ».
Dans son rapport annuel remis en juin 2003 au ministre de la Santé Jean-François Mattei, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) note que « les connaissances sur les substances chimiques polluantes sont très lacunaires : en Europe, sur 30.000 produits chimiques mis sur le marché avant 1981, et commercialisés à plus d'une tonne par an, seule une quinzaine a vu sa toxicité évaluée ».
A cela s'ajoute les effets de la prise de médicaments pour ce qui est des accidents de la route. Parmi les principaux facteurs de risque, la baisse de vigilance au volant intervient dans un accident sur trois sur autoroute. « Environ 10% des accidents mortels impliquent l'usage de médicaments », relève le dr Charlers Mercier-Guyon, secrétaire du Conseil médical de la Prévention routière, dans une déclaration faite en avril 2000. Ce phénomène concerne à des degrés divers environ 1.500 médicaments disponibles en France.
Un congrès fut organisé par le National Institute of Health ( une grande agence scientifique du gouvernement fédéral américain, l'équivalent d'un ministère de la Santé ) au mois d'août 2000 pour étudier les relations existantes entre les chercheurs et l'industrie chimique, pharmaceutique, et biotechnologique. De nombreux intervenants déclarèrent que beaucoup de chercheurs qui ont des liens ou des intérêts financiers avec les fabriquants de produits médicamenteux biaisent systématiquement les résultats des recherches, mettent ainsi les patients en danger, et diminuent la confiance que le public avait placé jusqu'alors en la médecine moderne.
Par exemple, il convient de noter l'intervention remarquable faite lors de ce grand congrès par Dr. Thomas Bodenheimer, professeur à la célèbre faculté de médecine de l'University of California, à San Francisco, aux Etats-Unis, lequel professeur commença par déclarer l'affaire « très sérieuse », puisque « les conflits d'intérêt parmis les chercheurs influencent gravement la pratique de dizaines de milliers de médecins qui sont guidés par ces résultats lorsqu'ils traitent des millions de patients. Tous ces chercheurs qui permettent à des erreurs d'infecter de manière systématique le résultat de leur travaux sont des criminels de la recherche scientifique ». Le Dr. Bodenheimer donna de nombreux exemples de résultats biaisés de ce genre, comme ces chercheurs qui ne prennent note que des "bons" résultats dans les tests d'efficacité de médicaments, ceux qui font de la réclame pour un produit sans avoir de preuves vraiment scientifiques, et « ceux qui vont jusqu'à falsifier les résultats ou fabriquer des preuves de toutes pièces ». Que la plupart des recherches sur les médicaments modernes soit financées par les industriels de la chimio-pharmacie crée un risque grave de résultats érronés ou biaisés.
Le Dr. Bodenheimer cita parmis de nombreux exemples une analyse des 70 études effectuées pour s'assurer de la sureté d'un certain médicament pour le coeur et pouvoir ainsi le distribuer légalement dans toutes les pharmacies; on trouva que 96% ( quatre vingt seize pour cent ) des auteurs de ces études qui avaient des liens avec l'industrie déclarèrent que le médicament était sûr et sans danger, alors que les chercheurs qui n'avaient aucunne connexion avec l'industrie n'étaient que 37% ( trente sept pour cent ) à avoir déclaré que le médicament en question était sûr et sans danger.
Le Dr. Bodenheimer montra aussi que lorsqu'un industriel paie des chercheurs pour étudier l'efficacité des médicaments anti-douleur qu'il fabrique, 100% ( cent pour cent ) des résultats des études sont en faveur du médicament, et dénigrent les produits des compétiteurs.
D'autres analyzes citées par Dr. Bodenheimer d'études scientifiques financées par l'industrie et publiées dans les revues médicales montrent que les résultats de telles études sont en faveur du médicament étudié 98% ( quatre vingt dix huit pour cent ) des fois.
Il convient également de tenir compte du fait, montra le Dr. Bodenheimer, que les médecins recruteurs de patients sujets pour ces études sont "dédommagés" pour cet "effort volontaire" avec toutes sortes d'avantages en nature ou à coup de sommes d'argent dont les montants sont loin d'être négligeables. Ceci fait que l'on recrute pour les études des patients qui ne devraient pas s'y trouver ou qui n'ont même pas la maladie requise pour l'étude.
Et puis le Dr. Bodenheimer montra des travaux sur le cancer qui excluent les personnes agées et qui permettent ainsi de "prouver" que le médicament étudié obtient des résultats bien meilleurs qu'ils ne sont en réalité. On sait que les patients agés de plus de soixante cinq ans réagissent souvent particulièrement mal à une chimiothérapie. Pourtant, les patients de ce groupe d'age représentent 63% ( soixante trois pour cent ) des patients dans un pays comme les Etats-Unis.
Le Dr. Bodenheimer parla également du fait que, de nos jours, les industriels du médicament sont propriétaires de la plupart des résultats des études scientifiques effectuées sur leurs produits et peuvent donc facilement en faire ce que bon leur semble...
Face à cette situation, les grandes revues de références ont beaucoup de difficultés à provoquer une réelle « opération mains propres » dans le milieux de la recherche médicale. Les règles d'éthique affichées sont souvent bafouées. Par exemple, Science and Engineering Ethics d'avril 2001 examine plus de 60000 ( soixante mille ) articles publiés dans le courant de l'année 1997 dans 181 revues dotées d'une « politique stricte » en matière d'éthique : hélas, même pas un article sur cent fait état d'un intérêt financier des auteurs de ces articles.
Les conflits d'intérêts ne sont pas seulement l'apanage des auteurs des articles médicaux. On les retrouve aussi chez leurs collègues qui, au sein des comités de lecture, sont chargés d'évaluer les travaux à publier. Dans un milieux médical où les financements industriels sont extrêmement répandus, il est difficile de trouver un expert qui ne soit financé ni par l'industriel évalué, ni par l'un de ses concurrents.
Si vous avez une excellente formation scientifique, je vous invite à faire l'expérience suivante : allez dans la bibliothèque de votre faculté de médecine, ou bien connectez vous à l'une des grandes banques de données scientifiques grâce à votre ordinateur favori. Voyez la section des recherches qui ont été publiées sur les nouvelles procédures et les nouveaux médicaments lors de ces dix dernières années. Puis piochez, au hasard, une bonne centaine de travaux parmis ceux qui sont cités par l'industrie de la chimie/pharmacie pour obtenir la mise sur le marché des dites procédures et médicaments. Lisez le protocole lui-même, pas simplement le petit bout de résumé. Vous trouverez que plus de 90% ( quatre-vingt dix pour cent ) de ces protocoles de recherches contiennent de graves fautes de mise en place ou ne respectent pas la méthode scientifique...
Cependant, malgré les sérieux inconvénients de la médecine allopathique, "ne jettons pas le bébé avec l'eau du bain", comme on dit. Le progrès scientifique continuera dans ce domaine comme dans d'autre.
Maharishi Mahesh Yogi : « Je suis en train d'offrir à l'individu ce que j'ai. Si l'individu choisit de le prendre, il en bénéficiera. Je ne suis pas opposé à qui que ce soit; je ne suis pas opposé à quelque principe que ce soit. Je ne suis pas en train de contredire l'allopathie, ou l'homéopathie, ou toute autre " pathie ", n'importe quel système de médecine dans le monde. Je suis en train d'offrir ce que j'ai trouvé être une base commune de toute la vie. »
« Je suis en train d'offrir cette stratégie de la connaissance à quiconque souffre de maladies chroniques, de maladies difficiles à soigner. Ceci n'est pas un challenge à tous les autres différents systèmes de soin qui sont disponibles dans le monde aujourd'hui. Soyez obéissant à vos docteurs et dites à votre docteur de famille de vous examiner de temps en temps et voir si vous êtes en train d'obtenir un certain soulagement gràce à cette nouvelle stratégie Védique de la Santé parfaite, la stratégie par la connaissance. » Maharishi Mahesh Yogi, extrait du livre Forum of Natural Law and National Law for Doctors.
Vous pouvez lire sur ce serveur l'excellent article du docteur Barry Charles : Les risques et périls de la médecine "moderne", comprenant des citations de revues médicales comme British Medical Journal, New England Journal of Medicine, ou Journal of the American Medical Association.
Si vous prenez actuellement des médicaments, soyez gentils de bien lire cet avertissement :
Aucun patient ne devrait cesser de prendre un médicament qui lui a été prescrit parce qu'il ou elle vient de lire la page ci-dessus. La réponse physiologique pourrait se révèler pire que le risque d'effets secondaires négatifs. Ce n'est pas une bonne idée que de modifier sa liste de médicaments tout seul par soi-même. Demandez conseil à votre médecin, ou au moins à votre pharmacien.